<link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Orbitron' rel='stylesheet' type='text/css'><link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=News+Cycle' rel='stylesheet' type='text/css'><link href='http://fonts.googleapis.com/css?family=Devonshire' rel='stylesheet' type='text/css'><center><div style="width: 510px; border-right: 6px solid #5D4761; border-left: 6px solid #5D4761; padding: 15px; text-align: justify;"/> <img src="http://farm4.static.flickr.com/3391/3310324388_f93cb9e46c.jpg" style=" width: 500px; height: 280px;border-radius: 50px 50px 50px; box-shadow: 0px 0px 3px black; text-align: center;"/></img><div style="text-shadow: 0px 0px 4px black; font-size: 30px; font-family: devonshire; color: white; letter-spacing: 2px; text-align: center;margin-top: -10px;">Impromptue rencontre</div>
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<span style="display: block; width: 100%;border-bottom: 1px dashed #59465C; padding-top: 10px;"></span>
<div style="margin-top:-60px;text-align: left;">
<div style="font-size: 11px; font-family: orbitron;">► PV Jodie Starling</div>
</div>
<div style="overflow: auto; border-right: 1px dashed #5D4761; border-left: 1px dashed #5D4761; width: 95%; padding: 10px; background-color : rgba(190, 190, 190, 0.5); text-align: justify;overflow: auto;">
Les bruits de l'aéroport continuait de bourdonner dans les oreilles de Friedrich. Les mélopées envoûtantes des compositeurs classiques lui manquaient et il avait, comme un imbécile, oublié de les charger sur son portable. Le jeune homme soupira, tout en tirant sa valise, avec une certaine exaspération. Tokyo était bien plus animé que sa ville natale, Cologne, c'était un constat clair. On pouvait voir des écrans géants partout, qui affichaient diverses publicités, tout cela pour la course au succès. Une marque proposait un nouvel ordinateur révolutionnaire avec une forme très stylisée, une autre mettait en avant son prototype de robot interactif qui arborait le visage d'une jeune fille japonaise tout à fait "kawaii", tandis qu'une dernière montait une femme en train de savourer le contenu d'une boîte de bento, aux couleurs d'un hypermarché connu.
Les publicités défilaient et martelaient leurs messages à coup d'arguments commerciaux, dans la plus grande indifférence des passants qui n'y portaient guère attention. Friedrich était assez déboussolé par ce qu'il l'entourait. Ce n'était certes pas la première fois qu'il venait au Japon, mais cette ambiance lui était tellement étrangère. Il se demanda alors comment son père, ayant toujours eu besoin de calme, arrivait à supporter la vie dans la capitale nippone.
Enfin, le temps s'en va et les gens changent, pensa le consultant. Le bruit des roues de la valise sur le trottoir continuait de pulser les tympans de Friedrich qui cherchait en vain un moment de silence. Arrivé devant un petit commerce local dont la devanture faisait part belle aux fruits et légumes locaux, le jeune homme s'arrêta. Il avait pu échanger ses euros contre des yens, avant de sortir de l'aéroport, ce qui était une bonne initiative, bien qu'il se promenait maintenant avec bien plus de billets qu'il n'en avait l'habitude. Le repas dans l'avion n'avait pas été très consistant, puisque composé d'un unique poisson surgelé qu'il n'était même pas comestible, ceci étant, Friedrich ressentit rapidement son estomac qui criait famine.
Conscient qu'il ne pourrait pas aller plus loin, avant de se sustenter, le détective amateur entra dans l'échoppe et se dirigea dans les rayons, qui n'étaient pas très diversifiés à vrai dire : si l'on pouvait trouver des produits locaux à l'avant du magasin, l'arrière n'était composé que de diverses boîtes de conserve et autres productions industrielles. Toutefois, des nèfles du Japon avaient attirées l'attention du consultant. En effet, il avait appris que le noyau de ce fruit contenait du cyanure d'hydrogène. Savoir qu'il avait pu utiliser lors d'une affaire qu'il avait co-résolue avec l'inspecteur Einig de la Bundeskriminalamt.
Il en prit deux et se dirigea vers la caisse pour payer ce qu'il devait. Sortant quelques pièces de sa poche qu'il tendit à la vendeuse, il pu repartir avant même d'entendre la caisse automatique jouer sa cacophonie synthétique. Il sortit du magasin en mordant à pleines dents dans l'un des fruits, tout en mettant l'autre dans sa poche. Dégustant sa nèfle, il continua à arpenter les rues du centre-ville tokyoïte. Avec toujours cette marée humaine sans personnalité pour compagnon. Tout le monde se ressemblait, tout le monde marchait tout droit sans détourner le regard.
Friedrich venait de finir son premier fruit et il chercha une poubelle du regard pour pouvoir se débarrasser de son noyau. Il en vit une à deux mètres de lui, contre un mur fraîchement peint d'un immeuble. Le jeune homme s'osa à un petit lancer... qui échoua, puisque le déchet rebondit sur le bord de la poubelle avant de toucher disgracieusement le sol.
Manque de chance, sûrement, mais Friedrich marcha en direction de la poubelle et se baissa pour ramasser la graine, tout en gardant sa main droite sur la poignée de sa valise. Après, avoir jeté le noyau de sa nèfle, il se retourna et aperçut une femme blonde qui le regardait malicieusement...
Friedrich remonta ses lunettes sur son nez.
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<div style="font-size: 11px; font-family: orbitron;">► PV Jodie Starling</div>
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Les bruits de l'aéroport continuait de bourdonner dans les oreilles de Friedrich. Les mélopées envoûtantes des compositeurs classiques lui manquaient et il avait, comme un imbécile, oublié de les charger sur son portable. Le jeune homme soupira, tout en tirant sa valise, avec une certaine exaspération. Tokyo était bien plus animé que sa ville natale, Cologne, c'était un constat clair. On pouvait voir des écrans géants partout, qui affichaient diverses publicités, tout cela pour la course au succès. Une marque proposait un nouvel ordinateur révolutionnaire avec une forme très stylisée, une autre mettait en avant son prototype de robot interactif qui arborait le visage d'une jeune fille japonaise tout à fait "kawaii", tandis qu'une dernière montait une femme en train de savourer le contenu d'une boîte de bento, aux couleurs d'un hypermarché connu.
Les publicités défilaient et martelaient leurs messages à coup d'arguments commerciaux, dans la plus grande indifférence des passants qui n'y portaient guère attention. Friedrich était assez déboussolé par ce qu'il l'entourait. Ce n'était certes pas la première fois qu'il venait au Japon, mais cette ambiance lui était tellement étrangère. Il se demanda alors comment son père, ayant toujours eu besoin de calme, arrivait à supporter la vie dans la capitale nippone.
Enfin, le temps s'en va et les gens changent, pensa le consultant. Le bruit des roues de la valise sur le trottoir continuait de pulser les tympans de Friedrich qui cherchait en vain un moment de silence. Arrivé devant un petit commerce local dont la devanture faisait part belle aux fruits et légumes locaux, le jeune homme s'arrêta. Il avait pu échanger ses euros contre des yens, avant de sortir de l'aéroport, ce qui était une bonne initiative, bien qu'il se promenait maintenant avec bien plus de billets qu'il n'en avait l'habitude. Le repas dans l'avion n'avait pas été très consistant, puisque composé d'un unique poisson surgelé qu'il n'était même pas comestible, ceci étant, Friedrich ressentit rapidement son estomac qui criait famine.
Conscient qu'il ne pourrait pas aller plus loin, avant de se sustenter, le détective amateur entra dans l'échoppe et se dirigea dans les rayons, qui n'étaient pas très diversifiés à vrai dire : si l'on pouvait trouver des produits locaux à l'avant du magasin, l'arrière n'était composé que de diverses boîtes de conserve et autres productions industrielles. Toutefois, des nèfles du Japon avaient attirées l'attention du consultant. En effet, il avait appris que le noyau de ce fruit contenait du cyanure d'hydrogène. Savoir qu'il avait pu utiliser lors d'une affaire qu'il avait co-résolue avec l'inspecteur Einig de la Bundeskriminalamt.
Il en prit deux et se dirigea vers la caisse pour payer ce qu'il devait. Sortant quelques pièces de sa poche qu'il tendit à la vendeuse, il pu repartir avant même d'entendre la caisse automatique jouer sa cacophonie synthétique. Il sortit du magasin en mordant à pleines dents dans l'un des fruits, tout en mettant l'autre dans sa poche. Dégustant sa nèfle, il continua à arpenter les rues du centre-ville tokyoïte. Avec toujours cette marée humaine sans personnalité pour compagnon. Tout le monde se ressemblait, tout le monde marchait tout droit sans détourner le regard.
Friedrich venait de finir son premier fruit et il chercha une poubelle du regard pour pouvoir se débarrasser de son noyau. Il en vit une à deux mètres de lui, contre un mur fraîchement peint d'un immeuble. Le jeune homme s'osa à un petit lancer... qui échoua, puisque le déchet rebondit sur le bord de la poubelle avant de toucher disgracieusement le sol.
Manque de chance, sûrement, mais Friedrich marcha en direction de la poubelle et se baissa pour ramasser la graine, tout en gardant sa main droite sur la poignée de sa valise. Après, avoir jeté le noyau de sa nèfle, il se retourna et aperçut une femme blonde qui le regardait malicieusement...
Friedrich remonta ses lunettes sur son nez.
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Conan de DC DT RPG (c)
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